Personnellement, je suis deuxième donc je ne vais pas me plaindre. Je suis l'auteur du texte 11. Je vais enfin pouvoir expliquer quelques points qui ont été levés :
- Tout d'abord, je trouve mon texte bâclé à cause de la limite en caractère. A la base, je devais faire en "deux parties", une qui aurait permis d'identifier la victime et les suspects à travers les messages et la deuxième (que j'ai du m'abstenir d'écrire) auraient du servir à lire entre les lignes, à rajouter des détails que le héros n'aurait pas vus au premier coup d'oeil (frustrant). J'aurais parsemé le tout de détails sur la fatigue et l'empoisonnement de l'auteur, sur des indices qui permettaient de voir que les dieux ne voulaient pas que cette histoire entache leurs légendes chez les mortels (un mort qui disparait de manière divine corps et âme et moins bavard).
Là du coup, il est dur de comprendre comment le message dénonce le coupable et ma fin est accélérée pour donner le plus de réponses sans pour autant écrire trois fois plus de choses pour un même message (ce qui aurait déséquilibré le texte et rendu le début futile).
- Le passé simple : rassurez-vous, je sais l'employer. Comme je l'ai expliqué sur l'autre topic, j'écris sans regarder mon clavier et une des erreurs de frappe que je fais le plus souvent est le "i" qui devient "o" (je réponds souvent "merco" aux gens). Ainsi, il y avait un "tombao" et un "rinçao" dans mon texte. Deux erreurs que j'ai enlevé à la relecture mais que j'ai oublié de remettre. La raison ? Le fais que par impatience, j'ai écris mon texte dès le premier jour et d'une traite, le terminant en plein milieu de la nuit (il faut dire qu'entre mes obligations familiales et celles d'infirmier, j'ai peu de temps pour me permettre d'écrire, donc j'ai profité de cette rare nuit de disponible). du coup, à la énième relecture (sachant qu'après plusieurs heures d'écriture, me relire devient assez lourd, j'ai envie de lire d'autres choses que mon texte pour la x fois), j'ai sûrement du zapper que le sujet du verbe était à la première personne (et non à la troisième comme j'ai du le croire).
- Le style d'écriture : effectivement, on aime ou pas, personnellement, il dépend de mon humeur. Pourtant, ce qui est beau dans les textes de l'antiquité (selon moi), ce sont ces mots et tournures de phrases tortueuses qui rendent (toujours selon moi et sans la prétention de les égaler) chaque mot magique. Ecrire simple et concis, ce n'est pas mon style, mais je ne sais que trop bien que c'est soit tout génial, soit tout nul selon qui lit ^^'. Ici j'ai voulu mélanger le mystérieux, l'épique et le dramatique.