Yushi
Adorateur de Gaïa
Bonjour a tous,
Après quelques mail envoyer et après des heures d'écriture avec Attia, je vous présente notre oeuvre.
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Chapitre 1: Le départ
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3.2.1... Tels furent les derniers mots que j'entendis avant de sombrer dans un sommeil, lorsque j'ouvris les yeux, je me vis dans ma chambre, tout autour de moi pas de fenêtre, juste une porte et un lit sur lequel je m'étais endormis, je décida donc de sortir de cette petite chambre, j'ouvris cette porte métallique qui me parut légère, je fus pris de stupeur devant moi
se dressait une baie vitrée derrière laquelle je vis la Terre et toutes les étoiles peuplant les
constellations que l'on peut voir de la Terre, mais alors pourquoi suis-je ici, tout était flou
dans ma tête, aucun souvenir, je fus pris de vertige avant de tomber sur le sol, je me dirigeait vers mon lit, trop tard.
J'ouvris les yeux quelques heures plus tard dans cette espace, le temps ne s’écoulait plus comme avant, j'en avais perdu toute notion. Pour patienter et tenter de recouvrer la mémoire je me plongeais dans des recherches sur l'endroit où je me trouvais, peut être trouverais-je un texte ou autre. Après des heures de recherches en vain, en soulevant mon oreiller je trouvais un petit cahier, qui devait être la depuis longtemps, je décidais donc de l'ouvrir et voilà ce que je trouvais.
Ce cahier m'appartenait donc, je continuais de lire, celui-ci comportait des recherches écrite de ma main, pour savoir ce qui s'était passé j'allais a la dernier page de mon journal.
La Terre se réchauffe, le Soleil ayant gonflé, il se rapproche de la Terre, la planète Mercure a disparut avalée par cette étoile, la planète Vénus, elle aussi a été engloutie, maintenant c'est au tour de la Terre, mais qu'allons nous devenir ma famille et moi ?"
La température en surface augmente dangereusement, le ciel se cache, le volcans explosent les uns après les autres, les continents se déplacent et vont se toucher Je viens de recevoir une lettre du Pentagone me demandant de m'y rendre au plus vite."
L'état critique est lancé, le conseil présidentiel du monde a décidé ce matin de lancer avec l'accord de tous, le plan d'embarquement. Nous allons quitter la Terre à bord de fusées qui nous enverront vers une autre planète. Malheureusement nous ne savons pas à quoi nous attendre là-bas : l'air est bon mais il n'y a pas de vie, nous devons la rejoindre avant la destruction du système solaire. Nous allons rencontrer un problème majeur, il faut quitter la galaxie , et en changer. Ceci peut être périlleux pour tous, la race humaine dépend de nous, nous ne pouvons pas faire marche arrière. Dans 4 heures les fusées décollerons. Seuls les plus riches et les plus savants peuvent nous suivre. La Terre mourra avec encore les trois quart de sa population."
Voilà. Le moment fatidique est arrivé, nous quittons la Terre de ce pas, le monde est en train de mourir, je ne reviendrais jamais , j'ai du dire adieu à mes amis, à ma famille qui ne peut pas venir avec moi, j'emmène ma femmes et mes enfants mais le autres restent ici,
Adieu planète bleu, toi berceau de la vie, qui nous a aidé, ton heure est arrivée, adieu..."
Le flou disparait, je me souviens maintenant, nous avons quitté la Terre le soir de Noël, pour sauver la race humaine. Mes souvenirs refont surface petit a petit, ma vie se recompose sous mes yeux, j'ai laissé mes amis, proche de leur fin sans pouvoir leur dire un adieu ou un au revoir.
Mais alors, si je suis ici, je ne dois pas être le seul. Où sont ma famille, mes enfants, et les autres? Ma curiosité l'emporta hélas une fois de plus. Je quittais ma chambre après avoir remis le cahier à sa place, il me sera utile lorsque je souhaiterais consigner mes écrits, cette expérience est nouvelle, et ne sera jamais oubliée.
La porte n'avait pas changé, toujours aussi légère, la baie vitrée était toujours là. Ceci n'était pas un rêve. Un long couloir étendu dans le vide de l'univers se dressait devant moi. Pas de lumière, juste les étoile que reflétait la vitre, allumant le couloir de mille lumières. Après deux minutes de marche, plongé dans ce vide, juste sous mes pieds, j'arrivais à ce qui pourrait ressembler à une salle de contrôle : des postes de commandes étaient installés sur le mur et un siège en cuir trônait au centre de la pièce. Prudent je m'approchais des ordinateurs. Constatant qu'ils étaient allumés, j'éffleurais la surface de ce qui pouvait ressemble à un clavier lorsqu'un message apparut devant mes yeux:
"Bonjour, Professeur TOMSON, bienvenue dans le vol E-457, vol de sauvetage de la Terre, projet embarquement D112, direction: planète Eleavia."
Planète Eleavia? Où était-elle? Des questions emplirent mon esprit. Pour y réfléchir, je m'assis sur le fauteuil en cuir.
Un grand bruit raisonna, et devant moi ce qui ressemblait a un mur de fer se releva, dévoilant une flotte de vaisseaux tout autour du mien. Ces vaisseaux portaient pour nom: Navette de survie E-17 Projet : D112. Devant moi se dressait donc ce qui restait de la population ayant pu se sauver, avant la destruction de la Terre, parmi eux il y avait les savants les plus fameux, les personnes les plus riches du monde, mais aussi le Conseil Mondial. Ce qui me tira de ma rêverait ce fut une voix aigüe qui semblait venir de l'entrée de la pièce. Cette voix m'était familière, lorsque je me retournais je vis devant moi ma fille de neuf ans qui me regardait, les yeux grands ouverts. Je l'ais pris dans mes bras, emplit d'une grande joie de la revoir. Je ne pus la saisir qu'elle s'était déjà accrochée à mon cou, en cachant son visage. Je vis quelquesminutes plus tard ma femme Marie : elle était droite, cheveux bruns, yeux bleus, elle était une femme gentille et attentionée. Je l'avais rencontré lors d'une réunion entre savant. Je la saisis dans mes bras, mes plus grand trésors étaient devant moi, ma femme et ma fille consistuaient ma raison de vivre et d'exister, c'était pour elles que j'avais quitté la Terre.
Après des bons moments de retrouvaille, il était temps de partir à l'exploration de ce qui serait notre maison pendant quelques mois, si tout se passait bien avant notre arrivée sur Eleavia. La navette de transport comportait deux chambres, une qui servait à ma femme et moi, et une pour ma fille Chloé, âgée de neuf ans.
Des couloirs traversaient notre capsule. Ceux-ci permettaient de se rendre rapidement d'une pièce à l'autre. Ces couloirs traversaient le vide de l'espace, reflétant la lumière des étoiles. Au centre, isolé de tous les couloirs sauf un, se trouvait la salle de contrôle. Étrangement nous étions les seuls à bord de cette navette.
Pourquoi étions nous les seuls? Où étaient les autres?
Nous nous occuperions de ce problème plus tard, nous devions trouver de quoi manger. Il devait y avoir une cuisine, où quelque chose de ressemblant. Après quelques minutes de recherche, au croisement de deux couloirs, derrière une porte, s'ouvrait une pièce circulaire, au milieu une table, des chaises, pas de mur juste la baie vitrée reflétant l'infiniment grand. Après avoir fouillé dans tous les recoins de notre nouvelle cuisine nous avons trouvé dans ce qui ressemblait à un frigo des plats, conservés précieusement dans des boites. Un simple passage dans un four et nous serions prêt a déguster un bon plat, certes pas de la même qualité que ceux de ma femme. Après avoir mangé et but, nous retournâmes dans la salle de contrôle pour trouver une explication à notre isolement. Tous les ordinateurs étaient alignés devant nous, et tous allumés, prêt à être utilisés. Peut être l'un d'eux nous permettrait de rentrer en contact avec les autres navettes, mais comment? Pas de micro, ni d'enceinte, juste un écran et un clavier. Lorsque j'effleurais la surface de ce qui ressemblait à la touche Entrée de notre clavier, l'écran noir s'alluma, des fenêtre s'activèrent au même moment, il ne suffisait plus que d'un micro pour parler avec les autres voyageurs, mais comment ...
Nous attendons vos remarques,
Comme le texte est assez long si vous avez des correction je suis disponible en MP pour modifier directement sur le récit.
A bientôt
Après quelques mail envoyer et après des heures d'écriture avec Attia, je vous présente notre oeuvre.
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Chapitre 1: Le départ
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3.2.1... Tels furent les derniers mots que j'entendis avant de sombrer dans un sommeil, lorsque j'ouvris les yeux, je me vis dans ma chambre, tout autour de moi pas de fenêtre, juste une porte et un lit sur lequel je m'étais endormis, je décida donc de sortir de cette petite chambre, j'ouvris cette porte métallique qui me parut légère, je fus pris de stupeur devant moi
se dressait une baie vitrée derrière laquelle je vis la Terre et toutes les étoiles peuplant les
constellations que l'on peut voir de la Terre, mais alors pourquoi suis-je ici, tout était flou
dans ma tête, aucun souvenir, je fus pris de vertige avant de tomber sur le sol, je me dirigeait vers mon lit, trop tard.
J'ouvris les yeux quelques heures plus tard dans cette espace, le temps ne s’écoulait plus comme avant, j'en avais perdu toute notion. Pour patienter et tenter de recouvrer la mémoire je me plongeais dans des recherches sur l'endroit où je me trouvais, peut être trouverais-je un texte ou autre. Après des heures de recherches en vain, en soulevant mon oreiller je trouvais un petit cahier, qui devait être la depuis longtemps, je décidais donc de l'ouvrir et voilà ce que je trouvais.
" Cahier de recherche du professeur TOMSON, professeur de Chimie moléculaire"
Ce cahier m'appartenait donc, je continuais de lire, celui-ci comportait des recherches écrite de ma main, pour savoir ce qui s'était passé j'allais a la dernier page de mon journal.
" 21 Décembre an 3000,
La Terre se réchauffe, le Soleil ayant gonflé, il se rapproche de la Terre, la planète Mercure a disparut avalée par cette étoile, la planète Vénus, elle aussi a été engloutie, maintenant c'est au tour de la Terre, mais qu'allons nous devenir ma famille et moi ?"
" 22 Décembre an 3000
La température en surface augmente dangereusement, le ciel se cache, le volcans explosent les uns après les autres, les continents se déplacent et vont se toucher Je viens de recevoir une lettre du Pentagone me demandant de m'y rendre au plus vite."
" 23 Décembre an 3000,
J'arrive au Pentagone ma femme et mes enfants on voulut me suivre, l'état devient critique, trop chaud sur la Terre, les plantes meurent les unes après les autre, l'espèce humaine touche à sa fin. Nous sommes réunis dans une salle où nous allons passez le plus clair de notre temps à trouver une solution à ce problème."" 24 Décembre an 3000, 20h30, Maison Blanche Washington D.C.
L'état critique est lancé, le conseil présidentiel du monde a décidé ce matin de lancer avec l'accord de tous, le plan d'embarquement. Nous allons quitter la Terre à bord de fusées qui nous enverront vers une autre planète. Malheureusement nous ne savons pas à quoi nous attendre là-bas : l'air est bon mais il n'y a pas de vie, nous devons la rejoindre avant la destruction du système solaire. Nous allons rencontrer un problème majeur, il faut quitter la galaxie , et en changer. Ceci peut être périlleux pour tous, la race humaine dépend de nous, nous ne pouvons pas faire marche arrière. Dans 4 heures les fusées décollerons. Seuls les plus riches et les plus savants peuvent nous suivre. La Terre mourra avec encore les trois quart de sa population."
" 24 Décembre an 3000, Zone D'embarquement Mont Blanc."
Voilà. Le moment fatidique est arrivé, nous quittons la Terre de ce pas, le monde est en train de mourir, je ne reviendrais jamais , j'ai du dire adieu à mes amis, à ma famille qui ne peut pas venir avec moi, j'emmène ma femmes et mes enfants mais le autres restent ici,
Adieu planète bleu, toi berceau de la vie, qui nous a aidé, ton heure est arrivée, adieu..."
Le flou disparait, je me souviens maintenant, nous avons quitté la Terre le soir de Noël, pour sauver la race humaine. Mes souvenirs refont surface petit a petit, ma vie se recompose sous mes yeux, j'ai laissé mes amis, proche de leur fin sans pouvoir leur dire un adieu ou un au revoir.
Mais alors, si je suis ici, je ne dois pas être le seul. Où sont ma famille, mes enfants, et les autres? Ma curiosité l'emporta hélas une fois de plus. Je quittais ma chambre après avoir remis le cahier à sa place, il me sera utile lorsque je souhaiterais consigner mes écrits, cette expérience est nouvelle, et ne sera jamais oubliée.
La porte n'avait pas changé, toujours aussi légère, la baie vitrée était toujours là. Ceci n'était pas un rêve. Un long couloir étendu dans le vide de l'univers se dressait devant moi. Pas de lumière, juste les étoile que reflétait la vitre, allumant le couloir de mille lumières. Après deux minutes de marche, plongé dans ce vide, juste sous mes pieds, j'arrivais à ce qui pourrait ressembler à une salle de contrôle : des postes de commandes étaient installés sur le mur et un siège en cuir trônait au centre de la pièce. Prudent je m'approchais des ordinateurs. Constatant qu'ils étaient allumés, j'éffleurais la surface de ce qui pouvait ressemble à un clavier lorsqu'un message apparut devant mes yeux:
"Bonjour, Professeur TOMSON, bienvenue dans le vol E-457, vol de sauvetage de la Terre, projet embarquement D112, direction: planète Eleavia."
Planète Eleavia? Où était-elle? Des questions emplirent mon esprit. Pour y réfléchir, je m'assis sur le fauteuil en cuir.
Un grand bruit raisonna, et devant moi ce qui ressemblait a un mur de fer se releva, dévoilant une flotte de vaisseaux tout autour du mien. Ces vaisseaux portaient pour nom: Navette de survie E-17 Projet : D112. Devant moi se dressait donc ce qui restait de la population ayant pu se sauver, avant la destruction de la Terre, parmi eux il y avait les savants les plus fameux, les personnes les plus riches du monde, mais aussi le Conseil Mondial. Ce qui me tira de ma rêverait ce fut une voix aigüe qui semblait venir de l'entrée de la pièce. Cette voix m'était familière, lorsque je me retournais je vis devant moi ma fille de neuf ans qui me regardait, les yeux grands ouverts. Je l'ais pris dans mes bras, emplit d'une grande joie de la revoir. Je ne pus la saisir qu'elle s'était déjà accrochée à mon cou, en cachant son visage. Je vis quelquesminutes plus tard ma femme Marie : elle était droite, cheveux bruns, yeux bleus, elle était une femme gentille et attentionée. Je l'avais rencontré lors d'une réunion entre savant. Je la saisis dans mes bras, mes plus grand trésors étaient devant moi, ma femme et ma fille consistuaient ma raison de vivre et d'exister, c'était pour elles que j'avais quitté la Terre.
Après des bons moments de retrouvaille, il était temps de partir à l'exploration de ce qui serait notre maison pendant quelques mois, si tout se passait bien avant notre arrivée sur Eleavia. La navette de transport comportait deux chambres, une qui servait à ma femme et moi, et une pour ma fille Chloé, âgée de neuf ans.
Des couloirs traversaient notre capsule. Ceux-ci permettaient de se rendre rapidement d'une pièce à l'autre. Ces couloirs traversaient le vide de l'espace, reflétant la lumière des étoiles. Au centre, isolé de tous les couloirs sauf un, se trouvait la salle de contrôle. Étrangement nous étions les seuls à bord de cette navette.
Pourquoi étions nous les seuls? Où étaient les autres?
Nous nous occuperions de ce problème plus tard, nous devions trouver de quoi manger. Il devait y avoir une cuisine, où quelque chose de ressemblant. Après quelques minutes de recherche, au croisement de deux couloirs, derrière une porte, s'ouvrait une pièce circulaire, au milieu une table, des chaises, pas de mur juste la baie vitrée reflétant l'infiniment grand. Après avoir fouillé dans tous les recoins de notre nouvelle cuisine nous avons trouvé dans ce qui ressemblait à un frigo des plats, conservés précieusement dans des boites. Un simple passage dans un four et nous serions prêt a déguster un bon plat, certes pas de la même qualité que ceux de ma femme. Après avoir mangé et but, nous retournâmes dans la salle de contrôle pour trouver une explication à notre isolement. Tous les ordinateurs étaient alignés devant nous, et tous allumés, prêt à être utilisés. Peut être l'un d'eux nous permettrait de rentrer en contact avec les autres navettes, mais comment? Pas de micro, ni d'enceinte, juste un écran et un clavier. Lorsque j'effleurais la surface de ce qui ressemblait à la touche Entrée de notre clavier, l'écran noir s'alluma, des fenêtre s'activèrent au même moment, il ne suffisait plus que d'un micro pour parler avec les autres voyageurs, mais comment ...
Nous attendons vos remarques,
Comme le texte est assez long si vous avez des correction je suis disponible en MP pour modifier directement sur le récit.
A bientôt
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