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Les hiboux chassaient par cette nuit fraiche de septembre. Il était minuit passé.
Le seigneur Skoll rentrait chez lui, titubant, d'une soirée arrosée. Il avait un peu abusé et il n'était plus en mesure de dénombrer les godets d'Assyrtiko et d'Athiri qu'il avait consommé...
Il n'était plus en état de conduire et somnolait donc, assis à l'arrière du char de Sam (Serviteur sobre pour être sûr d'Arriver à la Maison), alors qu'ils arrivaient en vue d'une de ses résidences secondaire, celle qui allait accueillir son sommeil réparateur.
Il s'approcha de la grande porte sud de son village, fermée pour une fois.
Ahhh, zont retenu la leçon mes gardes, zont bien fermé pour une fois !
Il inséra alors la première clé qui pendait à son trousseau. Qui bien évidemment ne tourna pas. Cela résulte bien entendu du même principe fondamental qui pousse votre tartine à tomber du mauvais côté.
Pourquoi c'est elle jamais la mauvaise qu'on choisit en premier ? heu... la bonne qu'on prend pas en premier jveux dire. heu... non plus. Bref jme comprends !
Le cheval à qui Skoll adressait la parole poussa un hennissement accusateur.
Tu peux parler, toi ! jt'ai vu picoler comme un trou avec le garçon d'écurie ! bon, celle là non plus...
Il avait fait deux fois le tour de son trousseau lorsqu'il entendit le brouahah pourtant présent depuis son arrivée. Son regard fit le tour de sa propriété, il remarqua alors les traces de pas, de chars, de catapultes, les murailles détruites à qq dizaines de mètres de la porte. Il aperçu aussi l'ombre sur la mer de milliers de birèmes qui défendait son port. "Son" port ? Il n'en était plus très sûr...
Comme il est d'usage dans ce genre de situation, son sang se glaça et l'alcool embuant sa pensée sembla s'estomper. On l'avait attaqué, l'ennemi était passé et le siège s'annonçait infranchissable.
Marathon ! ... Marathon... ? MARAT... Ah te voilà, sale bête.
Skoll sorti Marathon de sa cage, le plus rapide et sûr des pigeons de sa collection, c'est à dire un vieil oiseau flemmard et boiteux auquel on ne donnerai pas 10 minutes d'espérance de vie dans un ciel dégagé parfaitement hospitalier. Il griffonna sur un papier :
"Ennemi dans ma ville. Stop. Besoin de 4 ou 5 navires. Stop. C'est un iliade donc envoyez navires bons pour alimenter la cheminée seulement, ce sera suffisant. Stop."
Puis il attacha le message à l'oiseau.
Il s'enquit alors d'un arbre pouvant le couvrir de la pluie battante pour la nuit. Il savait qu'au matin la ville serait à nouveau sienne, mais l'attente lui tapait déjà sur les nerfs.
Ouuuuuf, j'ai bien cru que j'étais à sec ! souffla-t-il en trouvant une bouteille à l'arrière du char.
La nuit sera longue, alors autant poursuivre la soirée ! lança-t-il au conducteur endormi et à la vieille carne ricanante.
La suite ? Vous pouvez l'imaginer... Bon, pour vous je vais reprendre en image les évènements de la soirée, ainsi que de la libération du siège (seulement les attaques avec pertes significatives) :
Attaques préliminaires et conquête
Attaques sur le siège et libération
(oui, la marmotte ne fait pas dans le détail... elle a mis les birèmes dans le papier d'alu^^)
Skoll voyait encore arriver plusieurs centaines de navires aux couleurs de l'Eveil, bien que la ville fut déjà sienne et que la flotte ennemie repose par 100 mètres de fond.
Rhooo... J'avais dit de ne m'envoyer que quatre ou cinq bateaux !! pas quatre ou cinq milliers. Bon... Ben va falloir trouver à manger pour tous maintenant, qu'on ne critique pas encore mon hospitalité !
Un petit bilan s'impose.
Pertes l Iliade
- 1852 frondeurs
- 1 archer
- 497 hoplites
- 269 cavaliers
- 111 chars
- 14 catapultes
- 3241 birèmes
- 67 bateaux feu
- 132 brulots
- 1 navire de colonisation
---> 31 635 de population, 6 644 280 ressources.
Pertes Eveil
- 502 combattants à l'épée
- 502 archers
- 233 chars
- 6 transports lents
- 3220 bateaux feu
- 104 transports rapides
- 5 trières
--> 34 778 de population, 8 294 130 ressources.
Le seigneur Skoll rentrait chez lui, titubant, d'une soirée arrosée. Il avait un peu abusé et il n'était plus en mesure de dénombrer les godets d'Assyrtiko et d'Athiri qu'il avait consommé...
Il n'était plus en état de conduire et somnolait donc, assis à l'arrière du char de Sam (Serviteur sobre pour être sûr d'Arriver à la Maison), alors qu'ils arrivaient en vue d'une de ses résidences secondaire, celle qui allait accueillir son sommeil réparateur.
Il s'approcha de la grande porte sud de son village, fermée pour une fois.
Ahhh, zont retenu la leçon mes gardes, zont bien fermé pour une fois !
Il inséra alors la première clé qui pendait à son trousseau. Qui bien évidemment ne tourna pas. Cela résulte bien entendu du même principe fondamental qui pousse votre tartine à tomber du mauvais côté.
Pourquoi c'est elle jamais la mauvaise qu'on choisit en premier ? heu... la bonne qu'on prend pas en premier jveux dire. heu... non plus. Bref jme comprends !
Le cheval à qui Skoll adressait la parole poussa un hennissement accusateur.
Tu peux parler, toi ! jt'ai vu picoler comme un trou avec le garçon d'écurie ! bon, celle là non plus...
Il avait fait deux fois le tour de son trousseau lorsqu'il entendit le brouahah pourtant présent depuis son arrivée. Son regard fit le tour de sa propriété, il remarqua alors les traces de pas, de chars, de catapultes, les murailles détruites à qq dizaines de mètres de la porte. Il aperçu aussi l'ombre sur la mer de milliers de birèmes qui défendait son port. "Son" port ? Il n'en était plus très sûr...
Comme il est d'usage dans ce genre de situation, son sang se glaça et l'alcool embuant sa pensée sembla s'estomper. On l'avait attaqué, l'ennemi était passé et le siège s'annonçait infranchissable.
Marathon ! ... Marathon... ? MARAT... Ah te voilà, sale bête.
Skoll sorti Marathon de sa cage, le plus rapide et sûr des pigeons de sa collection, c'est à dire un vieil oiseau flemmard et boiteux auquel on ne donnerai pas 10 minutes d'espérance de vie dans un ciel dégagé parfaitement hospitalier. Il griffonna sur un papier :
"Ennemi dans ma ville. Stop. Besoin de 4 ou 5 navires. Stop. C'est un iliade donc envoyez navires bons pour alimenter la cheminée seulement, ce sera suffisant. Stop."
Puis il attacha le message à l'oiseau.
Il s'enquit alors d'un arbre pouvant le couvrir de la pluie battante pour la nuit. Il savait qu'au matin la ville serait à nouveau sienne, mais l'attente lui tapait déjà sur les nerfs.
Ouuuuuf, j'ai bien cru que j'étais à sec ! souffla-t-il en trouvant une bouteille à l'arrière du char.
La nuit sera longue, alors autant poursuivre la soirée ! lança-t-il au conducteur endormi et à la vieille carne ricanante.
La suite ? Vous pouvez l'imaginer... Bon, pour vous je vais reprendre en image les évènements de la soirée, ainsi que de la libération du siège (seulement les attaques avec pertes significatives) :
Attaques préliminaires et conquête
Attaques sur le siège et libération
(oui, la marmotte ne fait pas dans le détail... elle a mis les birèmes dans le papier d'alu^^)
Skoll voyait encore arriver plusieurs centaines de navires aux couleurs de l'Eveil, bien que la ville fut déjà sienne et que la flotte ennemie repose par 100 mètres de fond.
Rhooo... J'avais dit de ne m'envoyer que quatre ou cinq bateaux !! pas quatre ou cinq milliers. Bon... Ben va falloir trouver à manger pour tous maintenant, qu'on ne critique pas encore mon hospitalité !
Un petit bilan s'impose.
Pertes l Iliade
- 1852 frondeurs
- 1 archer
- 497 hoplites
- 269 cavaliers
- 111 chars
- 14 catapultes
- 3241 birèmes
- 67 bateaux feu
- 132 brulots
- 1 navire de colonisation
---> 31 635 de population, 6 644 280 ressources.
Pertes Eveil
- 502 combattants à l'épée
- 502 archers
- 233 chars
- 6 transports lents
- 3220 bateaux feu
- 104 transports rapides
- 5 trières
--> 34 778 de population, 8 294 130 ressources.
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