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Hors Concours n°1
«Le crépuscule. Le moment de la journée ou le soleil disparaît lentement à l'horizon. Ce moment est redouté par beaucoup de gens : certains en ont peur à cause de leurs croyances religieuses, d'autres à cause de stupides superstitions. D'un point de vue stratégique, la nuit est le meilleur moment pour frapper, l'adversaire est fatigué et plus vulnérable. Cependant, l'effet de surprise est moins flagrant, cette ruse est connue depuis la nuit des temps. Tout les grands chefs venant des quatre coins du monde se sont déjà posés la question au moins une fois, est-ce vraiment plus efficace ? On gagne en efficacité, on ne peut pas le nier, mais la défense de l'ennemi est plus importante. Un bien pour un mal, personne n'y gagne vraiment. D'un autre côté, la journée n'est pas le même idéal pour débuter une bataille, l'opposant est en forme.»
Tout les stratèges, défunts ou vivants, ont laissé une trace de leurs recherche, je les connais toutes par cœur. Mais malgré tout, aucun n'a la solution, chaque thèse qu'ils ont exposé possédent des failles. Je ne me prétend pas plus intelligent qu'eux, mais j'ai quelque chose qu'ils ne possédaient pas : de l'expérience. En effet, je ne suis pas un stratège, seulement un hoplite ambitieux. Ils ont passé leurs vies derrière un bureau et moi à défendre la Grèce. J'ai effectué de nombreuses batailles, dans de nombreuses situations : navales, terrestres, en altitude, etc. Je pense avoir trouvé l'élément qui permet de remporter la victoire. Si l'adversaire s'attend à une attaque nocturne ou de jour, il suffit de frapper à un autre moment. Lequel me direz vous...
Aujourd'hui je monte d'un grade, j'ai le commandement d'une escouade pour débarquer sur le territoire sud de Sparte, juste au dessus de la Crête. Cinq trières sont sous ma responsabilité, le matériel est en bon état, les soldats en bonne santé et motivé, je n'ai pas le droit à l'erreur.
Nous sommes à quelques kilomètres du rivage, on peut difficilement l'apercevoir. Je donne l'ordre d'arrêter tout les mouvements, d'éteindre l'éclairage et de minimiser les bruits au maximum, nous allons passer la nuit ici. Le temps passe et le soleil apparaît du côté opposé de la où il nous avait quitté. L'atmosphère est fraiche, une légère brume se dessine sur l'océan, c'est l'aurore. La nuit est finie, le jour se lève, il faut frapper maintenant. Dans le plus grand calme, mes cinq trières se rapprochent de la côte. Les archers sont en position, huit navires protègent le port. La victoire est pour nous alors que les ennemis sont plus nombreux et mieux armés.
De la chance ? Je ne pense pas. Ma théorie est confirmée.
«Le crépuscule. Le moment de la journée ou le soleil disparaît lentement à l'horizon. Ce moment est redouté par beaucoup de gens : certains en ont peur à cause de leurs croyances religieuses, d'autres à cause de stupides superstitions. D'un point de vue stratégique, la nuit est le meilleur moment pour frapper, l'adversaire est fatigué et plus vulnérable. Cependant, l'effet de surprise est moins flagrant, cette ruse est connue depuis la nuit des temps. Tout les grands chefs venant des quatre coins du monde se sont déjà posés la question au moins une fois, est-ce vraiment plus efficace ? On gagne en efficacité, on ne peut pas le nier, mais la défense de l'ennemi est plus importante. Un bien pour un mal, personne n'y gagne vraiment. D'un autre côté, la journée n'est pas le même idéal pour débuter une bataille, l'opposant est en forme.»
Tout les stratèges, défunts ou vivants, ont laissé une trace de leurs recherche, je les connais toutes par cœur. Mais malgré tout, aucun n'a la solution, chaque thèse qu'ils ont exposé possédent des failles. Je ne me prétend pas plus intelligent qu'eux, mais j'ai quelque chose qu'ils ne possédaient pas : de l'expérience. En effet, je ne suis pas un stratège, seulement un hoplite ambitieux. Ils ont passé leurs vies derrière un bureau et moi à défendre la Grèce. J'ai effectué de nombreuses batailles, dans de nombreuses situations : navales, terrestres, en altitude, etc. Je pense avoir trouvé l'élément qui permet de remporter la victoire. Si l'adversaire s'attend à une attaque nocturne ou de jour, il suffit de frapper à un autre moment. Lequel me direz vous...
Aujourd'hui je monte d'un grade, j'ai le commandement d'une escouade pour débarquer sur le territoire sud de Sparte, juste au dessus de la Crête. Cinq trières sont sous ma responsabilité, le matériel est en bon état, les soldats en bonne santé et motivé, je n'ai pas le droit à l'erreur.
Nous sommes à quelques kilomètres du rivage, on peut difficilement l'apercevoir. Je donne l'ordre d'arrêter tout les mouvements, d'éteindre l'éclairage et de minimiser les bruits au maximum, nous allons passer la nuit ici. Le temps passe et le soleil apparaît du côté opposé de la où il nous avait quitté. L'atmosphère est fraiche, une légère brume se dessine sur l'océan, c'est l'aurore. La nuit est finie, le jour se lève, il faut frapper maintenant. Dans le plus grand calme, mes cinq trières se rapprochent de la côte. Les archers sont en position, huit navires protègent le port. La victoire est pour nous alors que les ennemis sont plus nombreux et mieux armés.
De la chance ? Je ne pense pas. Ma théorie est confirmée.
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Hors Concours n°2
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