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En ce jour pluvieux, un grand nombre de trières et de bateaux de transports avaient dégluties une multitude de guerriers grecs prêt à en découdre avec les seigneurs de ces terres. Les cité-état des alentours avaient eu vent de cette tentative d'invasion et réquisitionnèrent la totalité de leurs troupes à la va vite. Malheureusement pour eux, leur point fort se trouvait être leur cavalerie, mais les trombes d'eau avaient rendu le champs de bataille peu praticable.
Les différentes bannières se faisaient face à bonne distance et patientaient en se jaugeant mutuellement. Avec ce temps infect, la bataille s'annonçait chaotique. En effet le bruit assourdissant des gouttes de pluies s'écrasant au sol et sur l'attirail qui protégeait les hommes, empêcherait la communication entre les généraux et les soldats. Ce terrain détrempé se transformerait bien assez vite en un vaste champs de bataille boueux. Chaque soldat s'en retrouvera recouvert de la tête au pied, ne pouvant reconnaître ses compagnons d'armes, frappant au hasard.
Malgré tout, l'ordre fût donné, les tambours raisonnèrent tel un léger bourdonnement dans ce vacarme assourdissant. Chaque guerrier cria de tout son souffle afin de se donner du courage et de faire peur à l'ennemi. Des deux côtés du champs de bataille, les archers se mettèrent en ordre afin d'affubler le camp adverse de sa pluie de flèches meurtrières. Elles virevoltèrent dans les cieux pour s'abattre sur les boucliers, les armures et s'incrustant dans les chairs. Nombre de silhouette s'écroulèrent sous l'impact et furent piétiné par leurs frères ne pouvant se permettre aucun écart. Le choc des deux lignes de front fût terrible et fracassa l'air d'un bruit de métal contre métal, qu'on aurait pu confondre avec la colère des dieux qui déchire le ciel.
La pluie s'arrêta en pleine bataille et il était maintenant bien audible, le bruit des armes s'entrechoquant, le cri des braves agonisant, le hennissement des chevaux. Le sol n'était plus qu'un assortiment de cadavre ou d'hommes non loin de leur dernier souffle, de sang, de boue et de ferraille. Une odeur nauséabonde se dégageait du champs de bataille, mais malgré tout cela, les guerriers continuaient de se battre car il le fallait, la victoire dépendait d'eux. Les rangs bien harmonieux, les phalanges et différentes tactiques militaires avaient très rapidement laissé place à une mêlée indescriptible.
Après plusieurs heures d'acharnement, le chef des envahisseurs finit par frayer un passage pour se lancer dans le combat final avec son comparse. S'il réussissait à vaincre ce dernier, la bataille finirait et il pourrait prendre possession de ces terres qui paraissaient très prometteuses.
Rouge baissa les yeux, puis jeta un œil à la boucherie qui se déroulait derrière lui.
Après des échanges de glaives, d'esquives, le leader des défenseurs s'écroula de toute sa longueur sur des cadavres, lachâ son arme et tenta de reprendre son souffle.
Rouge le prit par les cheveux et de son arme, il tenta de lui couper la tête. Mais l'opération ne s'avéra pas si aisé. Il fallut plusieurs coups dans le vif qui lui aspergèrent le visage de gerbes de sang. Il la leva dans les airs et s'écria*:
Alors chacun des hommes encore en vie posa genou à terre et jura fidélité à l'envahisseur.
Quelques années plus tard ceux s'étaient battu pour défendre leur terre ne regrettaient finalement pas d'avoir été annexé, car ils n'avaient jamais eu un ère aussi prospère et riche.
La devise de cette coalition de cité-état était «*Citius Altius Fortius*» qui signifie pour ceux n'ayant pas appris le latin «*Plus vite, plus haut, plus fort*» et c'est dans cet optique qu'ils évoluent tous ensemble.[/FONT][/I]
[HRP] Voilà bonjour à tous, je le sors maintenant car sinon vu le taff que j'ai, j'sais pas quand j'aurai pu le paufiner Je vais essayer de corriger les fautes qu'il doit y avoir mais que sur le coup je ne vois pas En espérant que ça vous plaira >_<[/HRP]
Les différentes bannières se faisaient face à bonne distance et patientaient en se jaugeant mutuellement. Avec ce temps infect, la bataille s'annonçait chaotique. En effet le bruit assourdissant des gouttes de pluies s'écrasant au sol et sur l'attirail qui protégeait les hommes, empêcherait la communication entre les généraux et les soldats. Ce terrain détrempé se transformerait bien assez vite en un vaste champs de bataille boueux. Chaque soldat s'en retrouvera recouvert de la tête au pied, ne pouvant reconnaître ses compagnons d'armes, frappant au hasard.
Malgré tout, l'ordre fût donné, les tambours raisonnèrent tel un léger bourdonnement dans ce vacarme assourdissant. Chaque guerrier cria de tout son souffle afin de se donner du courage et de faire peur à l'ennemi. Des deux côtés du champs de bataille, les archers se mettèrent en ordre afin d'affubler le camp adverse de sa pluie de flèches meurtrières. Elles virevoltèrent dans les cieux pour s'abattre sur les boucliers, les armures et s'incrustant dans les chairs. Nombre de silhouette s'écroulèrent sous l'impact et furent piétiné par leurs frères ne pouvant se permettre aucun écart. Le choc des deux lignes de front fût terrible et fracassa l'air d'un bruit de métal contre métal, qu'on aurait pu confondre avec la colère des dieux qui déchire le ciel.
La pluie s'arrêta en pleine bataille et il était maintenant bien audible, le bruit des armes s'entrechoquant, le cri des braves agonisant, le hennissement des chevaux. Le sol n'était plus qu'un assortiment de cadavre ou d'hommes non loin de leur dernier souffle, de sang, de boue et de ferraille. Une odeur nauséabonde se dégageait du champs de bataille, mais malgré tout cela, les guerriers continuaient de se battre car il le fallait, la victoire dépendait d'eux. Les rangs bien harmonieux, les phalanges et différentes tactiques militaires avaient très rapidement laissé place à une mêlée indescriptible.
Après plusieurs heures d'acharnement, le chef des envahisseurs finit par frayer un passage pour se lancer dans le combat final avec son comparse. S'il réussissait à vaincre ce dernier, la bataille finirait et il pourrait prendre possession de ces terres qui paraissaient très prometteuses.
«*Je me nomme rouge*! Dis à tes hommes de se rendre*! Votre cavalerie n'a pas pu jouer son rôle. Nous sommes plus nombreux, mieux armé. Dis leur, que se carnage finissent, je ne souhaite pas plus de morts*!*»
«*Jamais*! Nous sommes libre et nous voulons le rester*! Tu devras nous tuer jusqu'au dernier*! Même si je meurs mes hommes continuerons de se défendre*!*»
Rouge baissa les yeux, puis jeta un œil à la boucherie qui se déroulait derrière lui.
«*Qu'il en soit ainsi*! Nous verrons s'ils ont le même discours que toi une fois ta tête au bout d'une pique*!*»
Après des échanges de glaives, d'esquives, le leader des défenseurs s'écroula de toute sa longueur sur des cadavres, lachâ son arme et tenta de reprendre son souffle.
«*Tu peux... en … finir... je ne … peux … plus... me … battre...*»
Rouge le prit par les cheveux et de son arme, il tenta de lui couper la tête. Mais l'opération ne s'avéra pas si aisé. Il fallut plusieurs coups dans le vif qui lui aspergèrent le visage de gerbes de sang. Il la leva dans les airs et s'écria*:
«*Arrêtez de vous battre, votre chef est mort, je tiens sa tête*!*Jurez moi allégeance, battez-vous pour moi et vous resterez en vie*!*»
Alors chacun des hommes encore en vie posa genou à terre et jura fidélité à l'envahisseur.
Quelques années plus tard ceux s'étaient battu pour défendre leur terre ne regrettaient finalement pas d'avoir été annexé, car ils n'avaient jamais eu un ère aussi prospère et riche.
La devise de cette coalition de cité-état était «*Citius Altius Fortius*» qui signifie pour ceux n'ayant pas appris le latin «*Plus vite, plus haut, plus fort*» et c'est dans cet optique qu'ils évoluent tous ensemble.[/FONT][/I]
[HRP] Voilà bonjour à tous, je le sors maintenant car sinon vu le taff que j'ai, j'sais pas quand j'aurai pu le paufiner Je vais essayer de corriger les fautes qu'il doit y avoir mais que sur le coup je ne vois pas En espérant que ça vous plaira >_<[/HRP]