[Battle-minute]L'ombre à la fenêtre

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DeletedUser19733

Guest
Bonsoir,

Jahl de Vautban, Matthias 25, Skykrick et Praesen se sont affronté ce soir dans une battle-minute ayant pour thème: L'ombre à la fenêtre. Je vous laisse apprécier leurs oeuvres.

Texte 1: Jahl de Vautban

[SPR]Le monde est oppressant. Je ne l’ai réalisé qu’aujourd’hui mais j’ai longuement vécu avec ce sentiment sans pouvoir le nommer, une impression fugace qui disparaissait dans la noirceur de mes pensées dès que je voulais en savoir plus. Depuis quelques jours, elle s’est accentuée. Elle est devenue… plus réelle. Le malaise qui me hantait est devenu une vérité avec laquelle je dois conjuguer chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque battement. Tout est devenu hésitation. Le soleil brille mais plus rien ne m’est clair. On a levé un voile opaque sur le ciel. Un voile qui se resserre.

Je dors mal. Ou plutôt je dors sans me reposer. Mes rêves sont devenus sombres et embrumés, tout y est gris et torturé. Rien n’y bouge. Rien de vivant. Y avancer ne fait que me mener à mon point de départ. Dans ce labyrinthe angoissant on a peint sur les murs une silhouette. Les parois se dérobent à mon approche. Je poursuis un fantôme qui compte inlassablement mes essais. Je ne discerne plus le matin. Rêve et réalité ont fini par évoquer le même sentiment. Celui d’une proie qui se sait traquée mais qui ne sait pas où fuir. Je suis épié par deux yeux sans pupille.

On m’a conseillé repos et médicament. Comme si mes hallucinations ne me rendaient pas déjà bien assez fou. En sortant de chez moi j’ai vu la brume au bout de la rue. Et la silhouette sombre qui y trônait. A mes comment les lois scientifiques restent muettes. A mes pourquoi je n’ai pas plus de réponses. Je me meurs à petit feu. Je ne dors plus. Je ne mange plus. J’exorcise. J’ai peint des poèmes sur les cloisons. J’ai dessiné mes peurs sur le sol. J’ai laissé gris le plafond. Mais la brume n’a eu de cesse de redoubler ses assauts. A l’extérieur, c’est de l’écume sale qui vient lécher les fondations.

J’ai voulu hâter l’inévitable, et le temps m’a paru plus long. Le chasseur joue. Parce qu’il sait que quoi que sa cible fasse, elle ne pourra lui échapper. Le chasseur joue. Le chasseur joue. Mes hallucinations ont décuplé. Je suis perdu dans la brume. Les silhouettes sur les murs se sont peintes d’elles-mêmes. Mais cette fois je peux les toucher. Il n’y a plus de fantôme. De sons je n’entends plus que mes pas. Je crois que mes mains passent les murs. J’ai tiré mes rideaux. Il y a trop de lumière. Plus. Pas assez. Lumière ne veut plus rien dire, tout est gris. Un gris monotone. Gris couleur fin.

Après l’attente et l’angoisse, elle est venue. Je ne l’ai pas vue, juste sentie. La brume ne faisait qu’un avec elle et pourtant elle en était détachée. Dans un salon plongé dans l’obscurité, une ombre s’est rapprochée de la fenêtre.[/SPR]

Texte 2: Matthias 25
[SPR]Dimanche, 03h30.
Les premières notes du générique de fin retentissent. Pas trop tôt, je vais enfin pouvoir aller dormir ! Enfin, si les trois premiers Saw que je viens de m'enfiler ne m'empêchent pas de dormir pendant les 6 prochains mois... J'éteins la télé, et ouvre la fenêtre pour fermer les volets, quand j'aperçois une ombre dans le jardin.
-Bah, ce n'est qu'un chat...me dis-je.
Cependant, je ne suis pas tranquille. Sûrement la faute aux films d'horreur, mais je ne peux m'empêcher de penser que ça pourrait être un tueur psychopathe armé jusqu'au dents, venu pour me voler, me violer, me découper en morceaux et jeter les restes aux crocodiles.
-Pfff, lamentable ! me moque-je de moi-même.
Je ferme les volets, en me maudissant de ma stupidité. Cependant, pas rassurée, je jette un oeil à travers la raie du volet. Et là, j'aperçois une lueur diffuse, juste devant le volet. Cette lueur me glace le sang. Je m'écarte précipitemment de la fenêtre, et me précipite dans ma chambre chercher une lampe de poche. Je redescends pour éclairer le jardin, à travers la fente, pour apercevoir l'intrus. Rien.

Pas rassurée pour autant, je reste prostrée sur mon canapé, à l'affut du moindre bruit. Immobile. Concentrée. Aux aguets.

Dehors, le vent commence à souffler. Les poutres de la maison grincent. J'entends quelqu'un marcher au dehors. Peut-être que, si je me débrouille bien, je pourrai aller le prévenir avant que le rôdeur me rattrape. Mais non, c'est trop dangereux. Et puis, je ne suis même pas sûr que ce soit vraiment un rôdeur.

Les pas s'éloignent. Le vent souffle de plus en plus fort. La pluie commence à tomber. Je regarde l'horloge : 04h17. J'étouffe difficilement un baillement. Voilà déjà près d'une heure que j'ai fini mon film. Mais pourquoi le cambrioleur, si c'est est un, attend-il autant ? Je suis seule chez moi, nous sommes en pleine nuit...peut-être qu'il est parti ? Je m'approche doucement de la fenêtre, avec une infinie prudence. J'entrebaille un volet, et scrute la pénombre avec anxiété. Le rideau de pluie me gâche la vue, mais je ne vois personne. Serait-il vraiment parti ? Je commence à respirer à nouveau librement, quand j'aperçois à nouveau la petite lumière, vers le sol. Je manque d'air, reste saisie d'horreur. Et, tournant la tête, j'aperçois l'ombre qui revient. Ils sont deux ! Je referme précipitamment le volet et la fenêtre, et me rue sur le téléphone. Je compose le 17, me trompant 3 fois de numéro, et enfin une voix féminine me répond.
-Police Nationale, bonsoir. Quel est votre nom ?
Une grande secousse ébranle ma porte. Voilà qu'ils essaient de la défoncer !
-Au secours, je hurle, deux personnes tentent de pénétrer par effraction chez moi ! Je suis au 3 boulevard des tilleuls, à Versailles. Venez vite !
Je raccroche aussitôt, et barricade la porte avec le canapé. Il est lourd, mais je réussis finalement à le déplacer suffisamment pour bloquer la porte. Heureusement, car les coups sont de plus en plus puissants. L'orage a éclaté.

2 voitures de police arrivent rapidement, toutes sirènes hurlantes. Les agents sortent, lampe au poing, et occupent mon jardin, à la recherche du moindre intrus.

Et ce qu'il découvre me fait rougir de honte.

Les intrus étaient un chat et un ver luisant...[/SPR]

Texte 3: Skykrick
[SPR]Cela fait un ans, oui un ans que je vit ici, dans ce taudis. Ho bien sur certain m'ont dit, vend le, mais une voix, me répète chaque nuit,chaque jour: «garde moi, je te protège». Quand je raconte a quelqu'un ce que me dit cette voix, on me prend pour un fou. Souvent quand cette voix parle, une ombre noir, comme la nuit, encore plus noir que le néant, se ballade devant mes fenêtres. La chose illogique, c'est que cette ''ombre'', marche dans le vide. Je suis au troisième étages, je ne connais personne capable de marcher dans les air. Finalement, je vais allez les voir, oui c'est décidé, j'irai voir les traqueurs.

Enfin, je suis arrivé chez eux, après toute ces heures dans le sable a marcher, mais leurs emblème est terrifiant. Il est rouge, rouge d'un sang écarlate. Je rentre dans une salle, un homme en capuche, me prend la main, me fait avancer dans une salle, mais cette salle est elle aussi ensanglanté. Je décide d'engager la conversation, avec cet homme assis sur un trône, qui dégage une aura obscure, il est vraiment terrifiant, il faut pour tant qu'ils m'aident.

-Bonjour a vous, êtes-vous les traqueurs?
-Nous sommes des traqueurs, nous sommes partout, nous savions que vous alliez venir.
-Alors vous savez ce que je veut?
-Vous voulez vous délivrez d'une voix que vous pensez maléfique, et vous voulez notre aide.
-C'est exact.
-Nous vous aideront contre 10 000 jongue. Maintenant Allons-y.

Enfin, j'ai obtenu l'aide de ces grands chasseurs, je pense qu'enfin, je vais être libéré de cette ombre. Mais avant nous devons nous préparer.
Les traqueurs ont pris des outils.. que je trouve d'ailleurs bizarre, c'est le seul mot qui les qualifie. Je n'avais jamais vu de tel armes, leur seul réponse pour les emporter, est de me dire «On va vous protéger». Mais je n'ai pas confiance en ces traqueurs qu'on a plusieurs fois qualifié de tueur vicieux, s'en prenant a leur client, j’espère que c'est faux.

Nous voilà enfin devant l'appartement qui me sert de taudis. On rentre, moi le premier, une fois qu'on est tous a l'intérieur, la serrure se verrouille de l'extérieur. Et en un éclair, le chef des traqueurs tombe par terre, ensanglanté, les yeux qui pleure, les mains coupés, il est mort. Je commence alors a m'inquiéter. L'ombre était sûrement passé par la, elle avait déjà tué un de mes amis. Moi et les traqueurs essayons de défoncer la porte mais rien a faire, elle est plus dur que l'acier.

Un coup de vent passa par la, et une voix, la même voix glaciale me dit «Je vais vous protéger», en même temps, l'ombre passa a chacune de mes fenêtres. Elle laissa pour la première fois, une lettre a chacune de mes fenêtres, le mot entier était «PARTEZ», mais comment partir quand on est prisonnier? Je ne sais pas. Un traqueur pris une sorte de crée rouge, et dessina un rond, un rond qu'il dit ''protecteur'', je décide de m'y installer, mais cela nous protégera vraiment, et si sa marche, combien de temps ce rond blanc qui représente sûrement la pureté nous protégera?

Les autres traqueurs eux, cassèrent les fenêtres, mais ils découvrirent quelque chose, ces fenêtres ne menait pas a l'extérieur, elle menait a un absolue noir, le noir ultime, rien, aucune lumière ne pouvait éclairer cette endroit. Effrayer pour toujours, mais voulant accomplir leur devoir, ils rentrèrent dans cette endroit, j'attendis une heure, deux heures, trois heures, je compris maintenant qu'ils ne reviendront pas. Ils sont sûrement morts.
Je n'ai pas eu le temps de les suivre. Ou plus tôt, je ne voulais pas, je voulais savoir qui était derrière cette ombre.

Je fit un pas, vers ces fenêtres rempli d'obscurité, un néant. Mets au deuxième pas, j’entendis la voix, me dire «reculez, n'entrez pas.», je ferma les yeux de peur, quand je les ré-ouvris, les fenêtres était a nouveau la, je voyais le ciel. L'ombre me dit «partez, ne revenez pas», je décida malgré tout de rester, et je disparu pour toujours aux yeux des autres, mais malgré tout j’étais heureux, avec le temps je m'était habitué a cette ombre glacial, qui tournez autour des fenêtres. Et chaque jour, chaque nuit, je l'entendais parler et je la voyait me fixer.[/SPR]

Texte 4: Praesen
[SPR]Il s'agissait d'une journée pluvieuse, un dimanche monotone et un soleil gris.
A moitié emmitouflé dans mon manteau, mes pas résonnaient sur le bitume amoché. Je m'arrêtais devant le 14 avenue Foch : c'était une maison chaleureuse qui fumait grâce à un feu dansant. Elle n'était pas haute, mais avait été agrandie en largeur, les pans de bois quand a eux, étaien en parfaite état ce qui n'était pas le cas des briques qui avait souffert des conditions météo excécrables de la région. Je sonnais, poussais le portail d'une peinture verte écaillée et marchait d'un rythme précipité vers cette demeure. Je montais les marches de pierres évitant les nombreux nains de jardin qui avait été posé par ici - sûrement par erreur. Monsieur Chauvin descendit les escaliers et se dirigea vers moi d'un pas long et bourru. Après une poignée de mains rugueuse, la première chose que je ressentis fut la chaleur, s'engouffrant dans mes poumons et caressant ma peau, puis m'apparut un visage aux traits durs mais aux sourire bienveillant. Ces yeux étaient d'un bleu pâle cristallin, sa peau, elle, était d'une couleur rosâtre et parsemée de nombreuses petites rides qui inspiraient la sympathie. Il me fit entrer, me dit de m'asseoir à mon aise sur un fauteuil et alla chercher les rafraîchissements. Le parquet grinçait sous la course du chien, Florès, pour finalement ralentir, se poser à mes pieds et s'endormir près du feu. il s'agissait d'un gros chien pour le moins poilu mais au pelage luisant,e aux griffes courtes mais au dents pointues, sa queue ne cessait de battre
Lâchant mes yeux de cette boule de poil, je regardais un peu plus tous ce qui m'entourait. Le salon était spacieux, la cheminée parfaitement entretenue, une table basse en verre soutenue par du bois en acajou trônait au milieu de cette belle pièce, un tapisserie était délicatement posée sur le sol et en parfaite harmonie avec le fauteuil rouge pétillant. L'hôte revint donc avec un magnifique Bordeaux et du saucisson a la main. Il le posa sur la table, en coupa plusieurs bouts, m'en proposa et commença une série de questions :
- Bienvenue dans ma noble demeure, mais après ma demande faite sur les réseaux sociaux, ainsi que les post-it affichés au arbres de ma rue j'aimerais savoir qui vous êtes.
-Je me nomme Théodore, 27 ans et je viens de finir mes études en archéologie, il était indiqué sur l'affiche que vous possédiez de nombreux squelettes, oeuvre d'arts et autres...
-En effet, c'était ce que j'avais indiqué, mais avant le travail permettez-moi de vous présenter ma femme Anna.

Anna était une jeune femme, agée d'une trentaine d'années. Elle était croquante, souriante bavarde et joviale, elle possédait quelque bijoux qui allaient parfaitement bien avec ses cheveux blonds et ses yeux verts croustillants.
Et ainsi nous parlâmes des heures durant, de tout et de rien buvant ce vin bienfaiteur. Puis Monsieur Chauvin se leva et dit qu'il était temps de parler entre hommes, de choses sérieuses et j'eus presque de la peine que cette femme soit avec un goujat pareil. Il m'indiqua donc le chemin de la cave, où la moisissure, la puanteur se faisait plus que sentir. L'humidité des marches me fit manquer de tomber plusieurs fois mais tout cela fut vite compensé quand j'aperçus les merveilles qui se cachaient dans se souterrain : des hommes préhistorique en parfait état de conservation !
Rien ne manquait, les os, le crâne... Pour un archéologue comme moi rien ne put me faire aussi plaisir, fasciné je regardais l'homme qui avait ces véritables oeuvres d'art, et me dit:
- Incroyable n'est ce pas ?
Je n'avais pas de réponse et resta ébahi pendant plus d'une heure dans cette pièce, ou régnaient des morts qui avaient plus de 3000 ans. Ils étaient enfermés dans des bocaux, remplis d'un liquide transparent qui m'intriguait tout autant car s'était un moyen de conservation peu conventionnel. Puis pour la première fois depuis mon arrivé dans cette cave j'ouvris la bouche et dit deux mots:
Mais... Comment ?
Il m'expliqua que la boue sechée était un excellent moyen de conservation et que dut au temps pluvieux de la région ces squelettes avait pu rester intacts dans son jardin.
Perdu, je montais les escaliers, fébrile, de la cave et Monsieur Chauvin me proposa de rester dormir ici se soir. J'acceptais avec gratitude, souhaita bonne nuit a mon hôte et me retira rapidement dans ma chambre qui elle contrairement au salon était rudimentaire : il y avait une lampe avec une ampoule nue, un lit et une porte dotée d'une petite fenêtre. Le vin de Bordeaux me fit tourner la tête, je soulevai ma couverture, et m'enfournai dans mon lit. La nuit m'emporta... Un craquement, la lune pale éclairait doucement la petite fenêtre de ma porte, la gueule de bois, j'apercus une ombre froide, d'un squelette terrifiant. Je me frottais les yeux une nouvelle fois, puis plus rien. Rassuré je posais la tête sur mon oreiller, entendit la toux de monsieur Chauvin et m'endormis une nouvelle fois.

Les première lueurs du matin perçaient ma fenêtre et le première chose que j'entendis fut le cri perçant d'Anna. Les yeux embués de tristesse à moitié évanouie à cause de la perte de son mari qui, gisait a terre étouffé. Les policiers ne mirent pas longtemps a arriver sur les lieux du crime, identifièrent tous ce qu'ils pouvait mais malheureusement rien. Apparemment, Monsieur Chauvin avait eu des problèmes avec certains marchands d'art qui trouvaient que le prix de ces hommes préhistoriques (qui avaient d'ailleurs disparus) étaient trop cher.

La peur au ventre, le doute prisonnier dans ma tête je m'en allais de cette maison maudite ne su jamais si cet homme qui m'avait accueilli avait été tué par des squelettes ou... des marchands d'art.[/SPR]
 

DeletedUser

Guest
Bonsoir, bonsoir !

Je ne vote pas encore, mais cela ne serait tardé ! :p
Des récits très intéressants, qui ont le mérite d'être critiqués. ;-)

Texte 1:
Vraiment, je tombé sous le charme un texte court mais drôlement bien écrit !
Rien a redire.

Texte 2
C'est très amusant a lire, j'ai beaucoup ris !

Texte 3


J'ai trouvé ce récit un peu flou, je n'ai pas bien compris qui était les "traqueurs"par exemple...

Texte 4
Je ne commente pas, c'est a vous de le faire. :p
 

DeletedUser

Guest
bonsoir a tous,

vos textes sont tous formidables!!!
vraiment, je suis impressionnée, vous êtes tous très doué ;)

J'ai trouvé ce récit un peu flou, je n'ai pas bien compris qui était les "traqueurs"par exemple...

je l'ai fait exprés, pour laisser une plus grande part d'imagination au lecteur, sinon je prendrai toute critique avec plaisir, pour encore m'améliorer ;)
 

DeletedUser

Guest
Texte 1, très poétique, très beau, bien écrit. Mais je ne sais pas comment interpréter ta fin ;p

Texte 2, sympa, il fait sourire.

Texte 3, le plus intéressant des textes, au niveau de son histoire, fantastique et mystérieux à la fois, il est véritablement dommage qu'il soit bourré de fautes, sinon il était bien.

Texte 4, très belles descriptions, complètes et fouillées, et une histoire originale et intéressante, avec un soupçon de mystère.
 

DeletedUser

Guest
Je suis désolé pour les fautes.
Il est vrai que je n y ai pas vraiment fait gaffe.
 

DeletedUser

Guest
Up ! Lisez les textes, cela prend 5 minutes et il suffit juste de voter après. ;-)
Ça me ferais très plaisir !
 

DeletedUser

Guest
et surtout voté pour le mien :p

*sort en courant*

sérieusement, ce serait bien qu'il y ai plus de votant, la on rame... ;)
 

DeletedUser28613

Guest
J'ai voté il y a un ou deux jours mais je n'avais pas pris le temps de commenter.

Texte 1: Celui qui a remporté mon vote. Poétique et un peu dérangeant en même temps. J'ai beaucoup aimé.

Texte 2: J'ai moins accroché à cause des références au réel qui m'ont pas permis de "tomber" dans ton texte que je trouvais en fait assez "convenu" étant donné le sujet. Mais j'ai bien aimé la fin ^^

Texte 3: Beaucoup de fautes mais un texte fouillé, original. Pas ce à quoi je m'attendais vu le thème. Comme Ombre je regrette les fautes d'orthographe mais j'ai remarqué que tu avais tenu compte de mes conseils sur la présente battle, alors pour toi, voilà un bisou :*

Texte 4: Bien écrit, la description d'Anna était un peu étrange (des yeux verts croustillants? Oo), mais j'ai bien accroché. Il était ex aequo avec le premier texte mais il fallait bien choisir!
 

DeletedUser

Guest
Et moi, je n'ai pas de bisou ? :-(
Merci de tes commentaires, c'est très sympa. ;-)
 

DeletedUser28613

Guest
Je te ferai un bisou si tu m'explique comment des yeux verts peuvent être croustillants :D
 

DeletedUser42533

Guest
Bonjour,
la discussion étant inactive depuis plus de 6 Mois, je ferme et j'archive ~
Bonne journée.
Elie
 
Statut
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