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Bonjour ^o^
Voici venir les notations pour les textes de la Battle "Profondeur"
[SPR]Délassé par la mer, l'écume s'écrasait contre les falaises. Cette paroi était coiffé d'un vaste pâturage, l'herbe, fraîche et pure valsait au grès du vent. Mais malgré cette nature somptueuse quelque chose de plus intense retenait mon intention: une femme, se tenait aux bord de deux univers.
D'un coté un monde dur, où la volonté n'est que plume par rapport à la chance. De l'autre coté un monde où beauté et froideur ne sont qu'un, un monde si attrayant mais en même temps irrémédiablement mortel nommé par certains; le grand bleu. Ces yeux étaient vides, aucun bonheur, aucun remords, aucune colère.
Et quand le vide fut remplacé par la tristesse, et la tristesse par la folie puis elle sauta. La descente durait, tandis que j'observais, et quand son corps fut enfin au contacte de l'eau, la folie fut contagieuse et je m'élança vers l'océan.
La chute était courte, l'eau froide. Et le silence fut terrible, aucun son ne sortait de ma bouche, aucun bruit n’apaisait ma solitude. J'étouffais, oppressé par le manque d'oxygène et cette masse transparente. Pendant que je suffoquais, la mer indomptable m’entraînait vers ces profondeurs.
Les flots s'engouffraient dans mes poumons, mes bras, mes jambes tout mon corps rentrait dans une léthargie insoutenable. Doucement, mes yeux se refermèrent et le noir m'envahissait.[/SPR]
[SPR]Retirée sur demande l'auteur[/SPR]
[SPR]
[SPR]
Les yeux me piquent. Ma bouche s'ouvre.
La fatigue commence à vraiment m'envahir.
J'ai froid, d'un long drap je me couvre,
J'espère qu'il ne va pas tarder à s'endormir.
Voilà des heures que je le veille,
Sa maladie est grave, il ne peut s'endormir,
Qu'à l'heure où la ville se réveille.
Le soleil commence à bien luire,
C'est enfin les profondes heures,
Il s'endort enfin, à mon très grand bonheur.[/SPR]
[SPR]Les profondeurs! Les profondeurs peuvent représenter différentes choses: les profondeurs marines, les profondeurs de la terre, les profondeurs féminines.
Les traumatismes de certains individus sont le résultats de problèmes profonds. Ne disons-nous pas tout le temps que chaque chose a un sens profond. Profond peut donc être apparenté au commencement de toute chose. Pourquoi ce rapprochement de deux termes n'ayant rien en commun du premier coup d'oeil? Je vais vous expliquer le sens profond de cette pensée.
Tout d'abord, les profondeurs marines n'ont-ils pas créé l'homme selon le darwinisme? Nous sommes nés Bactérie au plus profond des abysses avant de marcher, vagabonder, penser, procréer. Les profondeurs marines sont encore inconnus de nos jours et l'on répertorie des centaines d'espèces chaque année. Elles n'ont pas fini de nous surprendre et de donner des naissances à des spécimens rares.
En parlant de procréation, les profondeurs féminines ne sont-elles par le berceau de la vie? N'est-ce pas grâce à ces profondeurs que l'homme naît et fait perdurer notre communauté? N'est-on pas le fruit de leurs entrailles? Grâce à cette chimie inconnue et hasardeuse, des milliers d'individus naissent chaque jour dans le monde.
Pour finir, les profondeurs de la terre ne regorgent-ils pas de chaleur interne afin de permettre un environnement viable? Dans l'Antiquité greque, Gaia est la déesse de la terre mais aussi de la natalité. Il s'agit d'une enième preuve que la terre et le commencement de la vie sont liés.
Grâce à ces exemples, ce qui est profond et donc invisible à l'oeil humain ne peut être négligé. Sans ces profondeurs, nous ne serions pas là pour écrire ce texte. Nous ne serions pas là pour pianoter sur nos touches, respirer l'air qui nous entoure.
Sans les profondeurs, nous ne serions pas comme nous le sommes aujourd'hui![/SPR]
Voici venir les notations pour les textes de la Battle "Profondeur"
Texte 1
[SPR]Délassé par la mer, l'écume s'écrasait contre les falaises. Cette paroi était coiffé d'un vaste pâturage, l'herbe, fraîche et pure valsait au grès du vent. Mais malgré cette nature somptueuse quelque chose de plus intense retenait mon intention: une femme, se tenait aux bord de deux univers.
D'un coté un monde dur, où la volonté n'est que plume par rapport à la chance. De l'autre coté un monde où beauté et froideur ne sont qu'un, un monde si attrayant mais en même temps irrémédiablement mortel nommé par certains; le grand bleu. Ces yeux étaient vides, aucun bonheur, aucun remords, aucune colère.
Et quand le vide fut remplacé par la tristesse, et la tristesse par la folie puis elle sauta. La descente durait, tandis que j'observais, et quand son corps fut enfin au contacte de l'eau, la folie fut contagieuse et je m'élança vers l'océan.
La chute était courte, l'eau froide. Et le silence fut terrible, aucun son ne sortait de ma bouche, aucun bruit n’apaisait ma solitude. J'étouffais, oppressé par le manque d'oxygène et cette masse transparente. Pendant que je suffoquais, la mer indomptable m’entraînait vers ces profondeurs.
Les flots s'engouffraient dans mes poumons, mes bras, mes jambes tout mon corps rentrait dans une léthargie insoutenable. Doucement, mes yeux se refermèrent et le noir m'envahissait.[/SPR]
Texte 2
(ne respecte pas la limite de caractères: +5000 )
(ne respecte pas la limite de caractères: +5000 )
[SPR]Retirée sur demande l'auteur[/SPR]
Texte 3
[SPR]
Au bord de cet abîme où je me tiens,
Sombre et froid comme la nuit ;
Je scrute l'horizon trop lointain,
En quête de lumière, de vie.
Mer sanglante et or souillé,
Passé houleux d'une silhouette qui meurt ;
Gibier de potence à Calypso fiancé,
Atteint enfin sa dernière demeure.
Elle me regarde silencieuse,
Cette âme gonflée de haine ;
Une introspection douloureuse,
Sur un vie plutôt vaine.
Ma voix lentement se perd,
Dans la mélopée des Sirènes,
Qui pour ces êtres chers,
Font résonner les peines.
Que reste-t-il de mon esprit,
Troublé par tant de haine,
De toutes ces choses que j'ai dit,
De ces silences qui nous gênent ?
Peu à peu nous sombrons dans l’abîme,
Les profondeurs aspirent toutes choses,
Nos peurs, nos joies, nos victoires et nos crimes,
Plient sous les vagues qui ne défendent aucune cause.
Du jeune corsaire qui aura mal tourné,
Reposent près de la grande fosse du pacifique,
Les restes friables d'un corps froid et décharné,
L'âme à jamais prisonnière des fonds océaniques.
En quête d'une lumière, d'une vie.
Il scrute l'horizon trop lointain,
Sombre et froid comme la nuit ;
Au bord de cet abîme où il se tient.
[/SPR]Sombre et froid comme la nuit ;
Je scrute l'horizon trop lointain,
En quête de lumière, de vie.
Mer sanglante et or souillé,
Passé houleux d'une silhouette qui meurt ;
Gibier de potence à Calypso fiancé,
Atteint enfin sa dernière demeure.
Elle me regarde silencieuse,
Cette âme gonflée de haine ;
Une introspection douloureuse,
Sur un vie plutôt vaine.
Ma voix lentement se perd,
Dans la mélopée des Sirènes,
Qui pour ces êtres chers,
Font résonner les peines.
Que reste-t-il de mon esprit,
Troublé par tant de haine,
De toutes ces choses que j'ai dit,
De ces silences qui nous gênent ?
Peu à peu nous sombrons dans l’abîme,
Les profondeurs aspirent toutes choses,
Nos peurs, nos joies, nos victoires et nos crimes,
Plient sous les vagues qui ne défendent aucune cause.
Du jeune corsaire qui aura mal tourné,
Reposent près de la grande fosse du pacifique,
Les restes friables d'un corps froid et décharné,
L'âme à jamais prisonnière des fonds océaniques.
En quête d'une lumière, d'une vie.
Il scrute l'horizon trop lointain,
Sombre et froid comme la nuit ;
Au bord de cet abîme où il se tient.
Texte 4
[SPR]
Profondes heures.
Les yeux me piquent. Ma bouche s'ouvre.
La fatigue commence à vraiment m'envahir.
J'ai froid, d'un long drap je me couvre,
J'espère qu'il ne va pas tarder à s'endormir.
Voilà des heures que je le veille,
Sa maladie est grave, il ne peut s'endormir,
Qu'à l'heure où la ville se réveille.
Le soleil commence à bien luire,
C'est enfin les profondes heures,
Il s'endort enfin, à mon très grand bonheur.[/SPR]
Texte 5
[SPR]Les profondeurs! Les profondeurs peuvent représenter différentes choses: les profondeurs marines, les profondeurs de la terre, les profondeurs féminines.
Les traumatismes de certains individus sont le résultats de problèmes profonds. Ne disons-nous pas tout le temps que chaque chose a un sens profond. Profond peut donc être apparenté au commencement de toute chose. Pourquoi ce rapprochement de deux termes n'ayant rien en commun du premier coup d'oeil? Je vais vous expliquer le sens profond de cette pensée.
Tout d'abord, les profondeurs marines n'ont-ils pas créé l'homme selon le darwinisme? Nous sommes nés Bactérie au plus profond des abysses avant de marcher, vagabonder, penser, procréer. Les profondeurs marines sont encore inconnus de nos jours et l'on répertorie des centaines d'espèces chaque année. Elles n'ont pas fini de nous surprendre et de donner des naissances à des spécimens rares.
En parlant de procréation, les profondeurs féminines ne sont-elles par le berceau de la vie? N'est-ce pas grâce à ces profondeurs que l'homme naît et fait perdurer notre communauté? N'est-on pas le fruit de leurs entrailles? Grâce à cette chimie inconnue et hasardeuse, des milliers d'individus naissent chaque jour dans le monde.
Pour finir, les profondeurs de la terre ne regorgent-ils pas de chaleur interne afin de permettre un environnement viable? Dans l'Antiquité greque, Gaia est la déesse de la terre mais aussi de la natalité. Il s'agit d'une enième preuve que la terre et le commencement de la vie sont liés.
Grâce à ces exemples, ce qui est profond et donc invisible à l'oeil humain ne peut être négligé. Sans ces profondeurs, nous ne serions pas là pour écrire ce texte. Nous ne serions pas là pour pianoter sur nos touches, respirer l'air qui nous entoure.
Sans les profondeurs, nous ne serions pas comme nous le sommes aujourd'hui![/SPR]
Rappel de quelques règles pour les votants
Code de Notation
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